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Photo du rédacteur1.centre.s.o.s SAPINA

Les dents , ATM et les douleurs récurrentes a la machoire

Dernière mise à jour : 8 sept. 2021


Des problèmes récurrentes de patients atteints de douleurs chroniques, que la médecine et la pharmacologie n'arrivent pas vraiment a soulager, faute de pouvoir en identifier les causes.

Pourquoi souffrir de : céphalées, migraines, acouphènes, crispation de la mâchoire, cervicalgies, dorsalgies, troubles digestifs, urinaires, cardio-vasculaire, troubles de sommeil, fatigue chronique, tendances dépressives, fibromyalgie... La cause d’une douleur vient souvent de l’occlusion.







Identification si cela peut provenir d'un travail de dent très ancien ou réccent.

nomenclature de dent








Occlusion, malocclusion, bruxisme L’occlusion dentaire définit l’état de fermeture de la bouche, lorsque les dents sont en contact.



Si l’engrènement des dents n’est pas correct, on parle de malocclusion. Or la dent est avant tout un organe tactile, entouré de récepteurs sensibles à la pression d’un gramme, et à une différence de niveau d’un centième de mm (10 x plus fin qu’un cheveu!). Nous sommes donc tous en malocclusion, mais nous en accommodons généralement fort bien. Cependant dans certaines circonstances peut apparaître un bruxisme centré, un serrement («clenching» en anglais), à ne pas confondre avec le grincement des dents. Si la nuit la pression peut aller jusqu’à 300 kg/cm2, le jour c’est un contact très léger, rarement conscientisé par le patient. La recherche fondamentale montre chez le sujet stressé et sujet au clenching que la surstimulation de ces récepteurs peut alors adresser des messages sensitifs délétères dans diverses régions du SNC (Système Nerveux Central), toutes informations qui pourront engendrer de nombreux symptômes, tels ceux énumérés plus haut.


En dentisterie, l’occlusion se réfère à la relation entre les dents supérieures et les dents inférieures lorsque la mâchoire est fermée et que leurs surfaces sont en contact. En d’autres termes, elle fait référence à l’alignement des dents et à la manière dont les dents supérieures et inférieures s’emboîtent.



La malocclusion, quant à elle, est le résultat de la réunion incorrecte de ces surfaces. Elle n’entraînera non seulement des troubles reliés à la dentition elle-même, mais également aux muscles de la mastication ainsi qu’à l’articulation temporo-mandibulaire (ATM); c’est-à-dire l’articulation de la mâchoire.

La malocclusion est le plus souvent héréditaire. Les variations de taille ou de structure de la mâchoire peuvent avoir une incidence directe sur sa forme. Cette condition peut également être causée par la perte d’une ou de plusieurs dents. Lorsqu’une dent est perdue, les dents à proximité ont tendance à dériver dans le nouvel espace disponible ce qui perturbe l’alignement.

Parmi les autres causes de la malocclusion nous retrouvons:

  • les mauvaises habitudes durant l’enfance, notamment la succion du pouce, la poussée sur les dents avec la langue, l’usage d’une suce au-delà de trois ans ou l’utilisation prolongée du biberon;

  • les dents surnuméraires, extraites, incluses ou difformes;

  • les plombages, les couronnes, les appareils dentaires ou les semelles orthopédiques mal ajustés;

  • un mauvais alignement des suites d’une grave blessure (fracture ou autre);

  • les tumeurs de la bouche et de la mâchoire.

Les symptômes les plus fréquents sont :

  • un alignement anormal des dents;

  • une apparence modifiée du visage;

  • une difficulté ou un inconfort à serrer les dents ou à mastiquer;

  • des troubles de la paroles;

  • une respiration par la bouche.

Les troubles de l’occlusion entraineront rapidement des lésions de l’ATM. Cela se produit lorsque les dents, les muscles masticateurs et la mâchoire ne travaillent pas en harmonie. Ces lésions peuvent entraîner les symptômes suivants:

  • maux de tête;

  • usure prématurée des dents, bruxisme;

  • ronflements excessifs ou apnée du sommeil;

  • douleurs articulaires, craquement ou claquement méniscal de la mâchoire;

  • douleurs aux épaules, au cou et au dos;

  • cervico-brachialgie et paresthésies du membre supérieur;

  • douleurs derrière les yeux ou douleurs faciales

  • déglutition perturbée;

  • douleur et sensibilité des dents, dents déchaussées;

  • acouphènes.

Très peu de gens ont une occlusion parfaite. Cependant, la plupart des problèmes sont généralement mineurs et ne nécessitent pas d’intervention. Dans les cas de malocclusion modérée ou grave, le traitement servira à éliminer la contrainte sur les dents, les mâchoires et les muscles, ce qui peut réduire les symptômes à l’ATM.

L’objectif est de corriger le positionnement des dents. Les broches ou autres appareils dentaires peuvent être utilisés. L’extraction dentaire, le remodelage dentaire ou encore la chirurgie pourront également être nécessaires dans certains cas.

La moindre perturbation de l’occlusion amène une perturbation de l’ATM et peut avoir des conséquences à différents niveaux tels :

  • Le visage:

    • douleurs aux dents,

    • hypo/hypersalivation,

    • paresthésies de la langue

    • perte de goût

    • troubles sensitifs de la peau au voisinage de l’oreille

  • La posture par des schémas de compensations musculaires. Par exemple, puisque la malocclusion engendre une réorganisation des tensions musculaires, on peut retrouver une lésion de l’ATM indolore, mais par des compensations « musculo-ligamento-squelettiques » va entraîner des douleurs lombaires.

  • La digestion, les fascias et la mécanique crânienne:

    • difficulté de déglutition, phonation, troubles respiratoires

    • reflux gastriques

    • musculature scapulaire et vertébrale, sciatalgie

    • maux de tête et migraines

Comment ça marche?Par collaboration interdisciplinaire, le patient est couramment redirigé vers Neurodent par des ostéopathes et des médecins. Une 1ère séance (durée 1h), consacrée à l’anamnèse (questionnaire très détaillé), à l’examen clinique (analyse occlusale) complété par radiographie numérique. En 2ème séance,l’intervention de SOS® proprement dite, environ 1h30. Elle est indolore (micro-meulages de surface), invisible (anatomie de la dent respectée), non invasive (des centièmes de mm). Une semaine plus tard, une consultation ostéopathique est nécessaire pour un travail de ré-harmonisation. Le traitement se termine un mois plus tard par un contrôle occlusal (durée: 30 min.), lorsque le cerveau a intégré le nouvel équilibre. http://www.neurodent.ch/files/1814/1701/0661/Neosante-JCCrottaz.pdfhttp://www.neurodent.ch/equilibre-dentaire-douleurs/traitements-methodes/decouvrez-notre-livre



Un complément diagnostic dentaire a envisagé: CONE BEAM

Le Cone Beam, ou Cône beam, ou « Imagerie volumétrique par faisceau conique » parfois désigné par l’acronyme CBCT (pour « Cone beam computed tomography ») est une technique de tomodensitométrie permettant de produire une radiographie numérisée.




Cette technique est située entre le panoramique dentaire et le scanner.

Le Cone Beam est considéré comme ayant été un progrès important pour l’imagerie médicale. Utilisant un faisceau conique de rayons X, il permet un examen performant des tissus minéralisés (dents, cartilages, os), mettant en évidence avec une bonne précision (de l’ordre du millimètre) des lésions osseuses, fractures, infections, kystes et corps étrangers (à la suite de blessures par balles ou grenailles par ex)









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Relation entre occlusion dentaire et verticalité de la posture



Influence de l’occlusion dentaire sur le contrôle de la posture corporelle : comparaison de la normocclusion et de la malocclusion


Résumé : La relation entre l’occlusion dentaire et la posture corporelle est un sujet complexe. Alors que depuis les années 1980, peu de consensus sont établis, aujourd’hui les auteurs semblent être en accord sur l’existence d’une relation entre la sphère oro-faciale et la posture d’une part et entre l’occlusion dentaire et la posture d’autre part. Ce travail a pour but d’améliorer un protocole d’étude, précédemment établit et d’en exploiter les résultats afin de confirmer ou d’infirmer la littérature. La première partie fait état de la littérature pour répondre à trois objectifs : connaitre l’état actuel des connaissances, déterminer le niveau de preuve des études scientifiques, rechercher les paramètres d’études les plus pertinents. La deuxième partie décrit le protocole d’étude mis en place : échantillons, matériels, méthode, recueil des données. La troisième partie donne les résultats obtenus. La quatrième partie est une discussion sur les résultats, le choix des paramètres, les conditions expérimentales et les perspectives de l’étude.

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Chaque dent est associée à un organe dans votre corps! C'est une indication de la santé

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