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Les dents , ATM et les douleurs récurrentes a la machoire

Photo du rédacteur: 1.centre.s.o.s SAPINA1.centre.s.o.s SAPINA

Dernière mise à jour : 21 févr.


Ce sont des problèmes récurrents de patients atteints de douleurs chroniques que la médecine et la pharmacologie peinent à soulager, faute de pouvoir en identifier les causes.

Pourquoi souffrir de maux tels que les céphalées, les migraines, les acouphènes, les crispations de la mâchoire, les cervicalgies, les dorsalgies, les troubles digestifs, urinaires, cardiovasculaires, du sommeil, la fatigue chronique, les tendances dépressives, la fibromyalgie ?

La cause d’une douleur vient souvent de l’occlusion.



Il faudra identifier si cela peut provenir d'un travail dentaire très ancien ou récent.


Nomenclature de la dent








Occlusion, malocclusion, bruxisme L’occlusion dentaire désigne l’état de fermeture de la bouche, lorsque les dents sont en contact.




Si l’engrènement des dents n’est pas correct, on parle de malocclusion. La dent est avant tout un organe tactile, entouré de récepteurs sensibles à la pression d’un gramme, ainsi qu'à une différence de niveau d’un centième de millimètre (10 fois plus fin qu’un cheveu !). Nous sommes donc tous en quelque sorte malocclus, mais nous nous accommodons généralement très bien de cette situation. Cependant, dans certaines circonstances, un bruxisme centré, ou serrement (« clenching » en anglais), peut apparaître, à ne pas confondre avec le grincement des dents. La nuit, la pression peut atteindre 300 kg/cm(2), tandis que le jour, c’est un contact très léger, rarement conscientisé par le patient.

La recherche fondamentale montre que la surstimulation de ces récepteurs peut alors adresser des messages sensitifs délétères dans diverses régions du SNC (Système Nerveux Central), toutes informations qui pourront engendrer de nombreux symptômes, tels que ceux énumérés plus haut.


En dentisterie, l’occlusion désigne la relation entre les dents supérieures et les dents inférieures lorsque la mâchoire est fermée et que leurs surfaces sont en contact. En d’autres termes, elle fait référence à l’alignement des dents et à leur emboîtement.



La malocclusion est quant à elle le résultat de la réunion incorrecte de ces surfaces. Elle provoque non seulement des troubles dentaires, mais aussi musculaires et articulaires, c'est-à-dire liés à l'articulation temporo-mandibulaire (ATM).


La malocclusion est le plus souvent héréditaire. Les variations de taille ou de structure de la mâchoire peuvent avoir une incidence directe sur sa forme. Cette condition peut également être causée par la perte d’une ou de plusieurs dents. Lorsqu’une dent est perdue, les dents à proximité ont tendance à se déplacer vers le nouvel espace disponible, perturbant ainsi l’alignement.

Parmi les autres causes de la malocclusion nous retrouvons:

  • les mauvaises habitudes durant l’enfance, notamment la succion du pouce, la poussée sur les dents avec la langue, l’usage prolongé d'une suce après l'âge de trois ans ou l’utilisation prolongée du biberon ;

  • les dents surnuméraires, extraites, incluses ou difformes ;

  • les plombages, les couronnes, les appareils dentaires ou les semelles orthopédiques mal ajustés.

  • un mauvais alignement suite à une grave blessure (fracture ou autre).

  • les tumeurs de la bouche et de la mâchoire.

Les symptômes les plus fréquents sont :

  • un alignement anormal des dents ;

  • une apparence modifiée du visage.

  • une difficulté ou un inconfort à serrer les dents ou à mastiquer ;

  • des troubles de la parole ;

  • Une respiration par la bouche.

Les troubles de l’occlusion entraîneront rapidement des lésions de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM). Cela se produit lorsque les dents, les muscles masticateurs et la mâchoire ne travaillent pas en harmonie. Ces lésions peuvent entraîner les symptômes suivants :

  • maux de tête ;

  • usure prématurée des dents ;

  • bruxisme.

  • ronflements excessifs ou apnée du sommeil.

  • douleurs articulaires, craquement ou claquement méniscal de la mâchoire.

  • douleurs aux épaules, au cou et dans le dos ;

  • cervico-brachialgie et paresthésies du membre supérieur ;

  • douleurs derrière les yeux ou douleurs faciales ;

  • Déglutition perturbée ;

  • Douleur et sensibilité des dents, dents déchaussées ;

  • Acouphènes.

Peu de gens ont une occlusion parfaite. La plupart des problèmes sont généralement mineurs et ne nécessitent pas d’intervention. En cas de malocclusion modérée ou grave, le traitement permet d'éliminer la contrainte subie par les dents, les mâchoires et les muscles, ce qui peut réduire les symptômes au niveau des articulations temporo-mandibulaires (ATM).

L’objectif est de corriger le positionnement des dents. Les broches ou autres appareils dentaires peuvent être utilisés. Dans certains cas, l’extraction dentaire, le remodelage dentaire ou encore la chirurgie pourront également être nécessaires.

Toute perturbation de l’occlusion perturbe l’ATM et peut avoir des conséquences à différents niveaux.

  • Le visage:

    • douleurs aux dents,

    • hypo/hypersalivation,

    • paresthésies de la langue

    • perte de goût

    • troubles sensitifs de la peau au voisinage de l’oreille

  • La posture entraîne des schémas de compensations musculaires. Par exemple, puisque la malocclusion engendre une réorganisation des tensions musculaires, on peut retrouver une lésion de l’ATM indolore. Toutefois, les compensations « musculo-ligamento-squelettiques » entraîneront des douleurs lombaires.

  • La digestion, les fascias et la mécanique crânienne:

    • difficulté de déglutition, phonation, troubles respiratoires

    • reflux gastriques

    • musculature scapulaire et vertébrale, sciatalgie

    • maux de tête et migraines

Comment ça marche ?

Par le biais d'une collaboration interdisciplinaire, le patient est généralement redirigé vers Neurodent par des ostéopathes et des médecins. Une première séance d'une heure environ, consacrée à l’anamnèse (questionnaire très détaillé) et à l’examen clinique (analyse occlusale) complété par une radiographie numérique, est généralement prévue. La deuxième séance consiste en l'intervention de SOS® proprement dite, d'une durée d'environ 1 h 30. Elle est indolore (micro-meulages de surface), invisible (anatomie de la dent respectée) et non invasive (des centièmes de millimètres). Une semaine plus tard, une consultation ostéopathique est nécessaire pour effectuer un travail de ré-harmonisation. Le traitement se termine un mois plus tard par un contrôle occlusal de 30 minutes, lorsque le cerveau a intégré le nouvel équilibre. http://www.neurodent.ch/files/1814/1701/0661/Neosante-JCCrottaz.pdfhttp://www.neurodent.ch/equilibre-dentaire-douleurs/traitements-methodes/decouvrez-notre-livre



Un complément diagnostic dentaire a envisagé: CONE BEAM

Le Cone Beam, ou Cône beam, ou « Imagerie volumétrique par faisceau conique » parfois désigné par l’acronyme CBCT (pour « Cone beam computed tomography ») est une technique de tomodensitométrie permettant de produire une radiographie numérisée.




Cette technique se situe entre le panoramique dentaire et le scanner.

Le Cone Beam est considéré comme un progrès important pour l’imagerie médicale. Utilisant un faisceau conique de rayons X, il permet d'effectuer des examens performants des tissus minéralisés (dents, cartilages, os), mettant en évidence des lésions osseuses, telles que des fractures, des infections, des kystes et des corps étrangers (à la suite de blessures par balles ou grenailles, par exemple), avec une bonne précision (de l’ordre du millimètre).









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Relation entre occlusion dentaire et verticalité de la posture



Influence de l’occlusion dentaire sur le contrôle de la posture corporelle : comparaison de la normocclusion et de la malocclusion


Résumé : La relation entre l’occlusion dentaire et la posture corporelle est un sujet complexe. Alors que depuis les années 1980, peu de consensus ont été établis sur le sujet, les auteurs semblent aujourd’hui s’accorder sur l’existence d’une relation entre la sphère oro-faciale et la posture d’une part, et entre l’occlusion dentaire et la posture d’autre part. Ce travail a pour but d’améliorer un protocole d’étude précédemment établi et d’en exploiter les résultats afin de confirmer ou d’infirmer les données de la littérature existante. La première partie fait état de la littérature pour répondre à trois objectifs : identifier l’état actuel des connaissances, déterminer le niveau de preuve des études scientifiques et identifier les paramètres d’étude les plus pertinents. La deuxième partie décrit le protocole d’étude mis en place : les échantillons, le matériel, la méthode et le recueil des données. La troisième partie présente les résultats obtenus. La quatrième partie est une discussion sur les résultats, le choix des paramètres, les conditions expérimentales et les perspectives de l’étude.

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Chaque dent est associée à un organe dans votre corps! C'est une indication de la santé

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